« Voulant inventer un lieu de fraternité, Michel Quint ne pouvait choisir qu’une librairie et, nordiste lui-même, dans le Nord. Son roman, outre ses qualités littéraires, est un chant d’amour au livre, à la littérature, à la lecture, à la librairie, particulièrement bienvenu en ces temps barbares dont la culture, seule, pourra venir à bout. »
Jean-Claude Perrier. Livres Hebdo.
« [Un] roman généreux, écrit sans gras […], dans une langue goûteuse, énergique et ronde. »
Frédéric Pagès. Le Canard enchaîné.
« Un bijou d’écriture. »
Isabelle Bourgeois. Avantages.
« [Une] fiction généreuse, ourlée d'une écriture fine. »
François Vey. Le Parisien magazine.
« C’est un roman magnifique pour ceux qui aiment les livres, pour ceux qui croient à leur pouvoir, qui pensent qu’on peut changer le monde et refuser la fatalité. »
Élodie Fondacci. Radio Classique.
« En cent pages, Michel Quint grave avec force l’histoire de cette poignée d’hommes et de femmes qui, par choix ou par nécessité, ont traversé le destin d’une librairie pas comme les autres. »
Marie Michaud, Librairie Gibert Joseph (Poitiers). Page des Libraires.
