« En ces temps de minimalisme, où la pauvreté littéraire passe pour de la rectitude, on a le sentiment de lire un texte rare. Christian Chavassieux n'a pas encore la renommée qu'il mérite, gageons que ce courage d'écrire sans esprit putassier, quelque chose de beau selon son tempérament (comme disait Maupassant), lui vaudra les meilleurs lecteurs. »
Alice Ferney. Le Figaro Littéraire.
« Romancier scrupuleux et lyrique, Christian Chavassieux prend l’Histoire à bras le corps et comme Alexandre Dumas lui fait de beaux enfants. »
Olivier Barrot. Un Livre Un Jour. France 3.
« Ce roman des origines, quête d'identité, récit d'initiation, entre appel de la « sauvageté », de la forêt, des forces occultes, et la soif de savoir, de culture, de bonheur, dans la monstruosité d'un temps qui chavire, est servi par une langue magnifique, crue, lyrique, archaïque et inventive à la fois. »
Joëlle Chevé. Historia.
« L'auteur s'intéresse à l'Histoire et sait en concevoir des représentations d'une rare ampleur. […] La richesse de la documentation et la culture encyclopédique à l'œuvre ici donnent au récit une saisissante épaisseur. […] Un formidable esprit dialectique fonde la singularité de ce roman, véritable leçon de lecture historique. »
Jean-Claude Lebrun. L’Humanité.
« Le souffle épique est puissant. »
Aurélien Delsaux. Études.
« Le héros de Chavassieux est un bouchon malmené par la tempête de l’histoire. Il incarne à merveille une idée magnifique, celle de l’homme qui arrache ses œillères idéologiques pour accomplir la révolution ultime, celle qui consiste à prendre sa Bastille personnelle, à être son propre roi. »
Michel Edo, Librairie Lucioles (Vienne). Page des Libraires.
« Tant par ses qualités d'écriture que par le tableau qu'il livre du basculement de l'Ancien Régime dans la tourmente révolutionnaire, La vie volée de Martin Sourire convaincra les plus hermétiques au genre du roman historique. »
Serge Hartmann. Dernières Nouvelles d’Alsace.