« Olivier Bordaçarre, avec une férocité joyeuse, met en scène l’irrésistible démembrement, jusqu’à la mort. Entre humour et hyperréalisme, dans ce qui prend les allures d’un conte, il déconstruit ainsi les formes de la double domination masculine, sexe et pouvoir politique. […] Un roman inventif, foisonnant de références. Olivier Bordaçarre confirme ici d’éclatante façon la forte originalité de son écriture. »
Jean-Claude Lebrun. L’Humanité.
« Une politique-fiction cocasse […] Une comédie hyper rusée qui se transforme en condamnation du machisme en politique […] Aussi féroce que malin. »
Causette.