« Les Fleurs d’hiver est un roman très triste et malgré tout formidablement réconfortant sur le genre humain. Non pas que Jeanne soit une héroïne, ni Toussaint un grand soldat. Ce couple-là est ordinaire, et c’est cette banalité qui donne aux personnages une dimension absolument romanesque. »
« Dans ces Fleurs d'hiver, on aurait pu s'attendre à des cris, à une complaisance dans la souffrance, à quèlques mots violents, durs. Aucun ne vient. Et c'est sans doute dans cette extrême sensibilité, dans ces effleurements qui traduisent l'indicible, que le roman puise sa force. »