« Un bref roman déjanté, éthylique et mélancolique dans l’Allemagne un peu lisse du chancelier Helmut Kohl. Réjouissant. »
Jérôme Dupuis, L’Express
« Il est étonnant de voir les prémices du ton très singulier, très incisif des romans suivants »
Francesco Fontemaggi, Libération
« Dériver peut être un art. […] En 150 pages nerveuses, [le personnage de Kracht] nous fait grincer de rire. »
Victorine de Oliveira, La Vie
« Ce livre déjanté et cynique ressemble à une version humoristique de Moins que zéro de Bret Easton Ellis. »
Aurélie Marcireau, Le Nouveau Magazine Littéraire
« Une virée destroy dans l’Allemagne des années 1990, qui a révélé le talent de Christian Kracht. »
Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo
« Le lecteur rit, jaune parfois, de désespoir souvent mais aussi de bon cœur devant certaines scènes d’anthologie où le fâcheux se complait dans un ridicule total. […] Un coup de poing au plexus. »
Jean-Baptiste Hamelin, Librairie Le Carnet à spirales (Charlieu), Page des Libraires
« Le coup d’envoi d’une modernité littéraire qu’on a par la suite appelé la littérature Pop. »
Die Welt
« On rangerait Kracht quelque part entre Salinger, Ellis et Kerouac, et on pourrait même voir en Faserland un Sur la route allemand. »
Der Spiegel
« Son style d’écriture halluciné rappelle fortement la Beat-generation américaine. »
Berner Zeitung
« Le livre phénomène à l’origine de la littérature Pop en Allemagne. »
Moritz Baßler dans La littérature Pop en Allemagne