« Nell Leyshon réalise un travail d’orfèvre en composant un texte éprouvant, mais porté par la figure lucide et magnifique de Mary. Un texte vibrant qui résonne encore longtemps une fois le livre refermé. »
« Dans La Couleur du lait, la Britannique Nell Leyshon s'efface entièrement derrière son personnage. C'est bien la voix de Mary, et elle seule, qu'on entend au cours de ce récit. Un récit poignant scandé par des retours sur soi où la jeune fille martèle son identité, comme pour s'en assurer, s'affirmant de plus en plus dans l'expérience de l'écriture. »