« Sept cents pages haletantes [...] un tour de force, dans la continuité des grands classiques de la littérature de guerre. [...] La première pierre est un livre promis à une longue vie – dans la conscience de chacun de ses lecteurs. »
Berlingske.
« L’horreur mêlée d’absurdité, la fragilité des valeurs démocratiques en regard des réalités locales y sont racontées sur un mode si haletant que cette épopée contemporaine de près de 800 pages se parcourt d’une seule volée. »
Nicolas Weill. Le Monde des Livres.
« Par-delà le contexte afghan, un très grand roman sur la guerre, qui parvient à être à la fois sobre et sans fausse pudeur, tranchant mais pas manichéen. »
Natalie Levisalles. Le magazine littéraire.
« Avec La première pierre, le romancier danois signe un « joystick » littéraire magistral, hypnotique et glaçant. »
Karen Lajon. Le Journal du dimanche.
« Ancien journaliste, écrivain baroudeur, Carsten Jensen réussit un livre haletant et noir sur cette guerre sans fin, dont les quelques 800 pages se lisent d’une seule traite. »
Books.
« L'écriture sèche comme un coup de trique et le rythme télévisuel restituent l'univers d'une bande de jeunes militaires surentraînés mais inexpérimentés, qui sont plongés dans un univers hostile, souvent ennuyant, toujours dangereux, parfois haletant. […] L'ancien journaliste Carsten Jensen chemine avec brio entre fiction et actualité. »
Olivier Tallès. La Croix.
« Une classique histoire de guerre qui bascule dans le machiavélisme d'un polar idéologique passionnant. »
François-Guillaume Lorrain. Le Point.
« Un roman sec au plus près des émotions. Carsten Jensen nous expose la guerre et ses interrogations sur le monde contemporain et les contradictions qui en découlent. »
Lucie Sawina, Librairie Nouvelle (Asnières-sur-Seine). Page des Libraires.