« Une ambitieuse saga historique et familiale. »
Didier Jacob. L’Obs.
« Jamais sa saga ne se perd, tant Madeleine Thien démontre une maîtrise narrative tout en étant une conteuse hors pair. De la première à la dernière ligne, son souffle romanesque ne vacille jamais. »
Valérie Robert. Version Femina.
« À la fois fresque épique, saga familiale et éloge de la musique, ce roman ambitieux, rythmé par les Variations Goldberg de Bach, raconte, sur trois générations, soixante années de l’histoire récente de la Chine. […] Madeleine Thien distille une réflexion sur la liberté, l’art, l’idéalisme, la révolution, l’amour et la quête identitaire dans un régime d’oppression. »
Sylvie Bressler. Esprit.
« Cette grande saga se déploie comme de la soie et se révèle résistante aux nœuds, une preuve de l’immense talent de madame Thien. »
The New York Times
« Une épopée magnifique sur l’histoire chinoise, richement détaillée et somptueusement écrite. »
The Times
« Touchant et extraordinaire. »
The Guardian
« [Une] magnifique saga intergénérationnelle. […] À n’en pas douter, Nous qui n’étions rien cimentera Madeleine Thien comme l’une des romancières les plus talentueuses du Canada. […] Minutieusement documenté, sans charge anecdotique, à la fois fascinant et lyrique. »
The Globe and Mail
« Une écrivaine splendide. »
Alice Munro