« Un chien sur la route est un voyage à l’air libre. (…) On peut lire ce roman comme une version moderne des contes philosophiques des Lumières. Ce récit réactive le genre du voyage initiatique en mêlant littérature (Kafka, Marai, Saroyan, Thoreau...), humour et ironie, argumentation et réflexion. »
Sabine Audrerie. La Croix.
« On y trouve un humour désabusé, une tonalité grinçante qui le rapprocheraient d’un autre Triestin, Italo Svevo, ou du Tchèque Bohumil Hrabal. On notera la pertinence des réflexions, notamment dans les comparaisons avec l’Autriche et avec la Hongrie. »
Thierry Clermond. Le Figaro littéraire.